Quand les neurosciences réinventent vos formations !

Funny Learning

Réussir son learning lab

Réussir son learning lab

Les lieux, l’espace, les formes et les couleurs influencent nos pensées, nos sentiments et nos comportements : Cette intuition matérialisée dans les années 60, par le chercheur Jonas Salk et l’architecte Louis Kahn donna vie à l’institut Salk (Californie). Depuis l'Académie des neurosciences pour l'architecture de San Diego encourage la recherche interdisciplinaire sur ce thème, mariant la psychologie, l’architecture, les neurosciences et la sociologie. Leurs recherches démontrent qu'il est possible de concevoir des espaces de vie qui favorisent les interactions, la créativité, l'attention, la convivialité, la relaxation, le bien être et un meilleur apprentissage.

Le cerveau se fait une opinion (à l’insu de son propriétaire) en 0.6 secondes ; c’est ce que nous révèlent les dernières études en neurosciences. Ainsi, en arrivant dans une salle de formation, les premières secondes prédisent les comportements des participants.


De ce constat, le FUNNY LEARNING affiche sa signature décalée permettant de reforcer les 3 fonctions du présentiel :

  •  Partager
  •  Expérimenter, semettre en situation
  •  S'engager vers l'action (individuelle et collective)

Il étonne et envoie un message silencieux : salles différentes, pédagogie différente : ici tout vous incite à devenir différent ! Au delà de quelques marqueurs simples utilisés par les consultants du réseau, qui permettent de générer d’emblée la surprise, tels les fanions inspirants, les « plus plus » colorés sur les tables, les balles et objets anti stress, tout invite à prendre et partager du plaisir, le concept se décline sur 4 axes :

Comme à la maison

Loin des salles académiques aux tables rectangulaires installées en U, ou pire encore en théâtre, le tout nouveau funny Learning lab développe un espace de vie chaleureux, convivial permettant d’oublier les contraintes du monde professionnel. Coin cuisine, canapés et fauteuils douillets, décorations, permettent de se sentir chez soi, comme dans un nid s’inspirant du concept de régression réparatrice, développé par Boris Cyrulnik, psychiatre et éthologue. 

De la couleur, des couleurs !

« La couleur est plus forte que le langage » écrivait Louise Bourgeois
Et pourtant rappelons que les couleurs n’existent pas ! Elles ne sont que l’interprétation de notre œil et de notre cortex visuel stimulés par les ondes !

Ainsi le rouge, avec son onde à 750 nanomètres seconde saute à l’œil et excite le cerveau alors que le bleu à 350 nanomètres seconde l’apaise. En ce cas, quelle couleur choisir pour le Funny Learning Lab ? Mais toutes pardi !! Puisque notre pédagogie repose justement sur le fait de varier les rythmes de formation en alternant des séquences de 10 mn (les capsules couleurs). Ainsi chaque siège est unique, de par sa couleur et par sa forme. Un peu comme les apprenants dont la personnalité et style d’apprentissage sont uniques…

De la rondeur, des barbapapa !

Les travaux de Jean-Claude Bendrell, ont mis en évidence les effets des différentes formes (triangle, carré, rond et ligne) sur les comportements humains.

Qu’il s’agisse de cercle, d’ellipse, d’ovale, de sphère, ou d’hélice, la rondeur des ces formes favorise à la fois un sentiment de détente, de mouvement et d’ouverture à 360°. Le rond rayonne et rassemble, protège et rassure et facilite les échanges. Ses effets physiologiques sont tout aussi intéressants : le cercle réchauffe, détend et abaisse la tension sanguine et musculaire. Pas étonnant en ce cas, que nous l’ayons plébiscité !

Du mouvement

La fluidité des corps précède celle de l'esprit. L'homme chasseur-cueilleur a construit son cerveau en marchant 20 Kms par jour... C'est la raison pour laquelle le Funny Learning connecte la tête et les jambes en jouant sur de multiples espaces d'activité ouvrant vers l'extérieur permettant la conconstruction de mappings collectifs. Mais il ne suffit pas de créer un espace coloré et chaleureux, d'équiper une salle de meubles de design, d'ordinateurs derniers cris, de grands écrans ou de projecteurs vidéos d'ultimes générations, il s'agit surtout de penser les nouvelles formes d'interaction humaine qui vont se dérouler dans ces salles.

Au diable les salles tristes et grises induisant l’ennui

 

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